- Prix de la critique au Festival international de Montréal 1987
- Meilleur Film Festival international de Chicago 1987
La révolution de 1956 à travers le regard de deux enfants. Le premier jour de la révolution, Tomi et Anna-Marie ne voient rien des événements. Ils sont seulement heureux de ne pas devoir à aller à l’école. Leur papa rentre du travail et raconte qu’il a eu le courage de gifler un collègue, mouchard du parti. Les enfants voient deux impacts de balle dans le pain de la grand-mère qui vient de rentrer à la maison. La essaie de comprendre les événements tout en gardant son calme. La situation n’est pas évidente car la grand-mère est communiste. Ils s’attendent aux éventuelles représailles des révolutionnaires. Les enfants vivent leur vie d’enfant, sortent de la maison, ne souciant pas du tout des dangers qu’ils courent dans les rues. Tomi commence à se poser des questions par rapport à la sexualité et Anna-Marie, plus petite, n’arrête pas d’énerver toute la famille et de faire des bêtises en ignorant complètement les conséquences éventuelles. Puis la mère veut quitter la famille et le pays avec son amant. Quand Tomi montre les symptômes de la coqueluche, elle décide de rester.
Au début de Novembre 1956, la révolution est écrasée par l’Armée Rouge et les enfants reprennent les cours à l’école.
Certains sont présents, certains ne seront plus jamais. Tomi commence à comprendre ce qui s’est passé réellement pendant ces dernières semaines.
« Coqueluche émerge du niveau de la découverte à celui d’une révélation »
Chicago Reader