Vincent Bierrewaerts aime lier de très près techniques et scénarios. Dans Le Portefeuille, il s’inspire de la science complexe des couleurs pour jouer avec le destin de son personnage. Avec Le Pont, il revient à une technique plus traditionnelle, marionnettes et décors en volume, pour une fable surprenante. Avec Fugue, son dernier film, il retrouve la ligne claire, renouant avec la sobriété graphique de ses débuts. Il y dénonce avec humour la vanité de l’homme dans sa quête illusoire de vouloir contrôler les éléments naturels.
Sélectionnés dans près de 180 festivals internationaux, ses courts métrages totalisent 31 récompenses dont le prix du meilleur film d’animation à Clermont-Ferrand pour Le Portefeuille (2004).
BONUS
6 films étudiants réalisés à La Cambre (Bruxelles)