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Au début du XXe Siècle, New York était le centre du Monde. C’est d’ici qu’est parti Linbergh, l’aigle solitaire, pour sa première et glorieuse traversée de l‘Atlantique en avion en mai 1927. À la même période, certains artistes comme Jay Leyda s’intéressent aux quartiers cosmopolites et effervescents du Bronx, tandis que d’autres filment les artistes qui brillent le soir au Cotton Club mais meurent d’épuisement dans des appartements de misère, comme la femme du personnage de Duke Ellington, vedette de Black and Tan. Destination de rêve, c’est également à New York qu’aborde le paquebot Normandie, où ses riches passagers peuvent filmer la ville avec des films en couleur désormais disponibles. Nous sommes en 1938.

New York sucrée-salée. La ville monde qui engloutit les uns et fait s’envoler les autres. La ville du chaos et des miracles en sept films de beauté et de cruelle âpreté… Juste avant d’être engloutie elle-même par la technologie et le progrès.
- Portrait of the South Bronx (1950)
- A Bronx Morning de Jay Leyda (1931)
- In the Street d’Helen Levitt, Janice Loeb et James Agee (1948)
- The Lone Eagle (1927)
- Black and Tan de Dudley Murphy (1929)
- Paris – New York de Jean Vivie (1938)
- New York 1900 (1900)